La ville.

Sujet: La ville. 30/10/2006, 18:21

Ackam arriva en centre ville, la route été pavée, le soleil brillait et les oiseaux chantaient. Puis il arriva devant une étrange maison sombre et envahi de vigne vierge. Il s’approcha un peu plus et vis une pancarte où il été écrit en lettre capital et en gras :

VOYANCE

Et en plus petit :

Venez découvrir votre avenir ou cherchez des réponses...

Ackam était effrayé par ce taudis. Il se décidât tout de même a entré pour savoir la signification de l’apparition de sa mère ce matin.
La porte ressemblée a une gargouille tirant langue. Ackam cherchât le moyen de l’ouvrir mais compris qu’il fallait tirait la langue du gargouille porte.

A l’intérieur il faisait sombre. La lumière ne passait pas par les fenêtres car la végétation grimpante était même sur les fenêtres. Ackam vit en face de lui une table avec une boule de cristal dessus. Puis il tournât sa tête a gauche et vit un petit comptoir sur lequel était posé un tiroir caisse, un petit sac et différent objets assez étrange. Et soudain une voie doucement grinçeuse se fit entendre. Ackam regarda autour de lui apeurer :

« Bonjour jeune homme, asseyez vous confortablement et dite moi le service que vous vous que je vous rende.

-Heu… j… je voudrais comprendre la signification d…d’une apparition. Dit-il en bégayant.

-Une apparition… » Elle se tenait debout à côté d’Ackam et réfléchi un peu. « Bien patientez. »

Elle alla derrière son comptoir et se baissa pour cherchez quelque chose. Elle marmonner quelque jurons et poussa un cris de victoire. Elle revint vers la table ornée de petits dessins qui représenté des dragons entortillés les uns sur les autres. Elle s’assit en face d’Ackam et posa sur la table un petit caillou très poli et dont la surface était couverte de petite taches brune et jaune. Et le désigna du regard et annonça :

« Voici la stenr garjzla qui veut dire Pierre de lumière. C’est avec cette pierre que nous allons découvrir la signification de ton apparition. Mais avant je voudrais savoir ce que tu as vu, entendu, où et quand ?

-J’ai vu cette apparition ce matin en me levant dans ma chambre et j’ai vu ma mère a mon chever qui me disait que j’avais dormi 2 jours et quelques heures et que je n’avais pas manger pendant ce temps. Et quand je me suis levée j’avais faim. Ce que je trouve aussi étrange c’est que ma mère est morte et…

-Comment, comment est elle morte ?! Cria t’elle en coupant la parole a Ackam.

-Heu…je n’ai pas envie de parler de sa…désolé.

-Non, Non cria t’elle encore plus fort. Si vous ne me répondez pas je ne pourrais vous être utile. Et je n’aime pas gaspiller mon temps.

-Heu… et bien j’avais 16 ans et ma mère et moi nous promenions au bord du lac Aries quand soudain un Erkay l’attaqua. C’était mon anniversaire et ma mère m’avait emmené au bord du lac car elle avait caché mon cadeau là-bas. Elle me l’avait donné et la créature la attaqué dans les jambes. Mon cadeau été une épée alors j’ai attaqué le monstre et par chance j’ai réussi à le vaincre… ais la lame de l’Erkay été empoisonné et ma mère et morte dans mes bras…

-Bien, bien alors nous pouvons commencez… »

Alors Ackam mit sa main sur le dessus de la pierre selon les indications de la sorcière et la sorcière mit sa main en dessous…

Sujet: Re: La ville. 1/11/2006, 20:28

La sorciere eu un mouvement de recul lorsque que la lumiere qu'envoyé la pierre devenue rouge. La sorciere saisit un bâtont ornée de petite ficelle flottante. Elle pointa son bâton sur Ackam et envoya une boule de feu qu' Ackam évita de justesse. La boule de feu s'écrasa contre une horloge qui se cassa et les morceaux se mirent a brûler. Ackam se recula et sortit son épée de son fourreaux passablement beau et se prépara au combat...

Sujet: Re: La ville. 1/11/2006, 21:13

Il prit une chaise en guise de... bouclier. Puis il chargea la sorciere et lui mit un coup brutal dans la main ou elle tenait son arme en esperant lui empeché l'usage de ses pouvoir qui provené de se maudit bâton tout rabougris.

Sujet: Re: La ville. 1/11/2006, 23:09

« J’ai pas fait exprès je suis désoléééée ! Je vous le promeeeets ! »

Courant pour échapper à son châtiment, Lia se demandait pour la cinquième fois depuis la poursuite pourquoi est-ce qu’il courrait après elle. Pour cela... revenons quelques temps en arrière.

....

« Ne fais pas confiance aux inconnus ! Et surtout ne fais pas trop de bêtises... Les gens n’apprécieraient pas que tu fasses quelque chose d’idiot si ils ne sont pas habitués. Lis bien les écriteaux et ne te fais pas abuser par les marchands... Ils n’hésiteraient pas à te détrousser... Tu as bien compris ?
- Oui, capitaine ! J’ai compris ! »

Aux regards curieux qu’elle jetait partout et aux sourires béats qu’elle esquissait de temps en temps, le capitaine savait pertinemment qu’elle n’avait rien écouté de la conversation. Soupirant et se grattant son crâne chauve tout en tenant son chapeau, il regarda cette petite femme toute mignonne. Lia était si mignonne que sa naïveté ne faisait aucun doute. Le capitaine hésitait à la laisser partir seule mais sa véhémence quant à cette décision était telle qu’il avait plus accepté parce qu’il ne voulait pas qu’elle pleure sur le champ.

« Allez Lia... File ! J’espère que l’on se reverra...
- J’en suis certaine ! Au revoir Capitaine ! »

La léonienne secoua la main avec un petit sourire et s’éloigna le cœur lourd. Oui... Elle le reverrait. Mais maintenant son esprit devait s’ouvrir à un nouveau monde. Elle qui était plus habituée aux bourgades sympathiques et aux grands espaces. Même Gardeln n’était qu’une ville d’une dimension plus ou moins raisonnable qui respirait l’air frais et la convivialité. Mais Langrand était un vrai changement. Le bruit, l’odeur, les gens... Tout était différent aux sens de la jeune fille qui se demandait où tourner la tête. Là, un homme qui criait de faire attention. Et là-bas, une femme jetait des détritus du haut de sa fenêtre ! Elle avait beau essayé de s’habituer, la difficulté était présente, stagnante, attendant que Lia tombe dans ses filets.

Lia continua de marcher, d’un pas lent et soigneux, pour éviter de faire une bêtise. Mais évidemment dès qu’un oiseau passa à côté d’elle, elle se tourna vers lui mais marcha en même temps ce qui donna comme résultat...

« CRAC ! BARDAF ! CHROUMPF ! CLINK ! »

Lia au milieu de débris de verres sous les yeux de l’artisan furieux. Elle eut beau se demander comment est-ce qu’elle avait fait, toute étourdie qu’elle était, elle se leva et commença à s’excuser.

« Heu... Je suis désolée, je n’avais pas vu et alors je suis tombé sur vos miroirs et vos cristaux... Mais... je n’ai pas fait exprès ! Je vous le jure !
- Mes.... Mes... Mes enfants ! Tu... Tu les as assassinés ! répondit le marchand les yeux exorbités
- Vos... quoi ?! Ecoutez... Ça arrive à tout le monde, je n’ai pas voulu les tuer... (elle fit quelques pas en arrière et commença à pleurer : ) Maaaaaaais je n’ai pas faaaait exprès ! Je voulais paaaaas ! »

Pleurant comme une madeleine, le marchand eut l’air soudain plus embêté qu’autre chose. Lia se retourna et commença à courir sans regarder devant elle. Et alors...

« CRAC ! BROUF ! CRASH ! »

Détruisant quasi tout sur son passage, Lia faisait des ravages. La suite vous la connaissez parfaitement. Nous revenons à la scène du début, Lia courant pour échapper à la foule en furie à cause des dégâts occasionnés par celle-ci. Pour tout dire, elle n’avait pas peur. La léonienne était juste embêtée de devoir courir comme ça à chaque fois qu’elle allait quelque part. Cherchant un abri des yeux, elle trouva soudain un endroit que même les personnes alentours n’osaient pas approcher. Trouvant là une chance pour s’enfuir, elle bifurqua rapidement pour se mettre face à cet étrange bâtisse. La recherche de la poignée dura cinq bonnes secondes, son esprit devinant plutôt hâtivement la façon d’ouvrir la porte. Tirant sur la langue de la gargouille en lâchant un discret « beurk ! », elle entra en courant dans la pièce et la porte se referma derrière elle. Malheureusement son acte de courage pour entrer ne donna comme résultat qu’un étalement net d’une vieille femme à la mine vaguement dangereuse. En regardant la pauvre sorcière, elle vit qu’elle l’avait assommée. Se maudissant, elle se tourna vers un homme avec une chaise dans les mains comme pour se protéger et à côté de lui, à ses pieds, un bâton en plutôt mauvaise état. Lia se releva très vite et déclara tout en recommençant à pleurer :

« Je suis désolée ! Je savais pas qu’il y avait quelqu’un et je suis entrée et...et...snif ! J’ai tuée la daaaame ! »

Lia, en toute bonne fille naïve qu’elle était, elle prenait la première personne endormie pour un mort. Les larmes coulant de ses joues et un de ses bras sur les yeux pour les cacher, elle donnait vraiment pitié à voir.

Sujet: Re: La ville. 1/11/2006, 23:37

Ackam vit la jeune inconnue entré et assomé la veille sorciere sans le faire expres. Ackam n'était pas le genre d'homme à sauté au coup de la premiere personne qui lui sauvait la vie alors il se dirigea vers la jeune et ravissante femme et se contenta de dire un merci très chaleureux quand même et ramassa le bâton de la sorciere et le jeta très loin de cette répugnante sorciere. Ses yeux se fixat a présent sur les oreille de l'inconnu.

*c'est une léoniene, j'en suis persuadé. Je n'en ai croisé que deux dans ma vie. Uen qui m'avait pris pour sa proie et une autre qui voulait me tuer car j'avait volais une bague quelle avait échapper par terre et quelle n'avait pas remarqué tout de suite.*

Ackam regarda sa main au moement ou il pensait a se souvenir. Une bague Léoniene y été placé a son index.

*tient il est beau se petit grelot accroché a son oreille. Mais que fait elle là.Je devrais la questionné pour en savoir plus, on m'a dit qu'il fallait se méfié des léoniens.*

Il ouvrit enfin sa bouche et dit :

"Qui êtes vous et pourquoi m'avait vous sauvé la vie ? "dit-il sur un ton curieux.

Sujet: Re: La ville. 1/11/2006, 23:52

La jeune fille, à peine remise de ses émotions, entendit le remerciement chaleureux. Elle leva son adorable figure et regarda en reniflant un peu l’homme. Il devait avoir une vingtaine d’années. C’était un bel homme, il fallait l’avouer, qui avait des cheveux bruns plutôt courts mais avec une petite mèche rebelle sur son visage. Ses yeux en forme d’amande fixait d’un air vif la pièce en entier et allait en parfait accord avec son nez droit et fin. Malgré la petite cicatrice sous un de ses yeux, Lia se dit en elle-même qu’elle était pour une fois bien tombée. Elle regarda l’humain, car elle ne trouvait pas d’autres options, jeter la bâton en mauvais état. Elle, en toute bonne niaise qu’elle était, elle se demandait à présent pourquoi elle le remerciait. Et oui, Lia n’était pas vraiment la léonienne la plus futée, mais sûrement une des plus gentilles.

Elle remarquait le regard que l’homme lançait à ses oreilles et ce fut d’ailleurs pour cela qu’elle les caressa du bout des doigts. Car oui, elle était fière de ses oreilles et du pelage qui lui couvrait la peau, mais qui n’était pas visible à cause de ses vêtements, c’était son héritage léonien et elle y tenait ! On aurait pu croire qu’elle ne l’était pas tout à fait et pour cause, dans sa famille quelques léoniens se sont unis de temps en temps à des humains ce qui a quelque peu appauvri leur richesse quant au sang.

Quand le regard de l’homme tomba sur sa bague, Lia le suivit aussi et entendit une toute petite voix au fond d’elle-même qui lui conseillait de ne rien laisser au hasard et de voler cette magnifique bague. Mais Lia n’écouta pas tout de suite et sourit à l’humain à l’annonce de la question.

« Je me nomme Lia ! Je suis une léonienne ! Je ne savais pas que vous étiez en danger, je cherchais une cachette pour que les méchantes personnes dehors ne transforment pas mon pelage en tapis... J’y tiens moi ! Je pensais même que j’avais fait quelque chose de mal, mais si vous me remerciez, j’en déduis que ce n’était pas si mauvais après tout... »

Non, ce n’est pas un mensonge, Lia est vraiment très naïve et la conception même de mensonge était inconnue à sa personne. La première fois que quelqu’un lui avait fait part de cette doctrine qui est de dire quelque chose qui n’est pas vrai, Lia eut tout d’abord du mal à comprendre du premier coup, et une fois que cela fut fait, décida d’emblée que c’était une chose qui n’était pas bien. D’ailleurs une fois qu’on lui en avait reparlé, elle avait fait une tête interrogative et avait répondu en toute innocence : « de quoi tu parles ? ».

Sujet: Re: La ville. 2/11/2006, 00:04

" Si vous êtes rechercher, alors vous feriez mieux de ne pas restez içi jeune demoiselle. Malgrès ce noir j'ai repérez une trappe au plafond prenez ce manteau suspendu au porte-manteau pour vous cachez et suivait moi."

Ackam avait remarqué que la belle s'intérrésé a sa précieuse bague alors d'un geste discret et que personne ne peut voir, pas même un elfes il enleva son anneau et le cacha dans une poche interieur de sa chemise. Il se dirigea vers le porte manteaux et ouvrit la veste un peu sale et déchiré, une veste de sorciere quoi, pour que la jeune femme puisse y passé ses bras.

"N'oubliez pas de mettre la capuche du manteau ! Et dite moi pourquoi on vous cour après ?!"

Sujet: Re: La ville. 2/11/2006, 00:20

Lia ne fit que hocher la tête, acquiescant à toute remarque. De toute façon, elle aurait dit oui à n’importe quoi alors... Elle continua sur la lancée, ajouta parfois un petit bruit comme « hum » ou « hin hin » le genre de choses qui faisaient croire qu’elle suivait la conversation. Mais en fait son regard parcourait la salle à la recherche d’un petit quelque chose à voler. Si elle ne volait pas la bague de ce monsieur, il faudrait bien qu’elle vole autre chose ! En entendant son nouveau surnom, jeune demoiselle, elle retint un petit gloussement. C’était mieux ça que les habituels ‘idiote’, ‘incapable’ ou même ‘deux mains gauches’. Celui-ci était déjà un peu plus galant.

Elle allait aller vers le porte-manteau, puisqu’elle avait saisi le mot dans la conversation, mais le gentilhomme la dépassa et prit le manteau de la sorcière. Noir, puant et sale, Lia se demanda si elle avait le courage de porter cette...cape, qui n’avait ça que de nom. Elle l’enfila rapidement et rabattit la capuche. Avec un sourire joyeux, elle expliqua sa route pour parvenir ici.

« Et bien en fait... j’ai tué les enfants d’un marchand ! Et de beaucoup d’autres d’ailleurs ! »

Malgré tout , c’était la pure vérité. Le marchand avait exactement employé ces termes sauf que c’était pour parler de sa marchandise ! Mais la jeune fille, n’étant pas vraiment futée, n’avait pas compris et racontait d’emblée ce qu’elle avait entendu. Mais juste à sa bouille innocente, on pouvait deviner qu’elle ne savait pas vraiment ce qu’elle racontait. Reprenant ses explications, elle commença à détailler :

« Oui, je me baladais tranquillement sur le port, je viens tout juste d’arriver, vous savez je suis très malade sur les bateaux et je ne pouvais pas encore attendre une autres escale, alors j’étais très heureuse qu’on soit arrivé ici... Enfin, je me baladais sur le port et un oiseau adorable et vraiment très beaux avec des plumes dorées et bleues qui avaient d’ailleurs un certain éclat au soleil, passa à côté de moi et alors je suis tombée chez un marchand de miroir et j’ai, sans faire vraiment exprès car voyez-vous je suis plutôt maladroite mes parents me le disaient souvent avant qu’ils meurent, vraiment cassé tous les cristaux et miroirs de l’homme. J’ai eu beau lui expliquer que je n’avais pas fait exprès qu’il n’a pas voulu me croire. Alors j’ai essayé de m’en aller, mais j’ai cassé... Quelques autres petites choses sur le passage... Qui se résume en... Une dizaine de boutiques... »

Elle sourit et nouveau, ne se rendant pas compte qu’elle avait raconté un tas de détails sur sa vie qui n’avait aucun intérêt et expliqué d’une façon joyeuse et presque contente pourquoi la moitié des marchands de cette ville lui courraient après pour lui faire payer l’addition assez salée de ce « malencontreux » accident.

Sujet: Re: La ville. 2/11/2006, 00:43

"Et bien si vous voulez me racontez ça plus en détail ce serat plus tard car je crois qui vont démolir la porte. Mais vous avezvraiment tué des enfants ?! C'est étrange... Vous avez quand même vu des enfants ? Non ?! Peu importe suivait moi jusu'a cette trappe."

Il désigné du doigt une trappe qui montait au toit du batiment.

"Sachez que je ne désire pas trainer avec une voleuse ou une assasin ou quelque chose du genre. Et écouté moi vraiment quand je vous parle car vous rêver sans arrêt et on veux vous tuez ou pire..."
Il saisit le poigné de la demoiselle et se dirigea vers une l'echelle qui permetté de montez a la trappe.

"Allez-y grimper je vous rejoint !"

Il alla vers la table et saisit un papier sur lequel était marqué ce que la sorciere avait vu pendant la séance. Elle avait écrit en même temps quelle cherché a comprendre la vision d'Ackam puis il prit la sorciere pas les aiselles pour la trainé devant la porte pour que quand la porte s'ouvrirait elle s'assomerais a nouveau. Il alla cherchez le bâton de la sorciere et le cassa en deux. Puis il se dirgea vers l'echelle en bois et prêt a cassé et grimpa a son tour et réussi a monté sur le toit où la femme l'attendais. Il prit son épée et cassa l'échelle avec pour éviter que les poursuivant ne monte.

"Maintenant je vais pratiquez mon passe temps favori : sauté de toit en toit. Je connais tout les toit de mon quartier mais pas ceux la alors il sont peut être dangereux mais si vous voulez restez içi de peur de tombez vous pouvez, je ne vous retient pas, j'essaie juste de sauvé une belle âme en detresse."

Malgré la méfiance qu'il avait pour cette somptueuse créature, il ne pouvait pas s'empechait d'être serviable et galant avec tout le monde et surtout les femmes.

Sujet: Re: La ville. 2/11/2006, 01:06

Lia pour une fois, secoua la tête en souriant. Une fois que c’était dans la bouche de quelqu’un d’autre, elle se rendait compte que ce n’était pas la bonne expression. Haussant les épaules, elle se dit qu’elle lui expliquerait bien plus tard. Car elle espérait quand même pouvoir lui parler après, parce que sinon, ce n’était vraiment pas amusant de rencontrer les gens. Quand l’homme lui dit qu’il ne voulait pas traîner avec une voleuse, elle eut l’air un peu attristée. Non, en fait beaucoup et fut même sur le point d’éclater en sanglots. Mais il ne faisait donc pas attention au fragile équilibre sentimental de la pauvre jeune fille ? Bon c’était vrai, elle volait les gens. Mais c’était pour leur rendre service ! Alléger un peu leur ceinture ! Et puis ça ne dérangeait pas vraiment les léoniens sur son ancienne île, là où elle avait vu le jour. Ils étaient même contents de devoir travailler encore plus parce que cela était bon pour le corps et l’esprit. Mais peut-être d’autres croyances étaient en cours par ici... Lia devait se mettre au courant un de ces jours...

Son attention fut rappelé pour la centième fois de la journée à l’ordre. Alors comme ça, il avait enfin remarqué qu’elle n’écoutait jamais rien de ce que les autres racontaient... Pourtant ce n’était pas faute d’avoir essayé. Voyez-vous... Lia était une fille très gentille et adorable, mais malheureusement on se demandait parfois pourquoi elle était si tête en l’air et si elle n’avait pas une accroche de pousse de petits pois à la place du cerveau. Mais remplie de bonne volonté, elle demandait souvent à la personne de répéter plusieurs fois pour qu’elle essaie de comprendre, ce qui n’arrivait d’ailleurs quasi jamais. Pour une fois, elle avait plus ou moins écouté et hocha de la tête, elle monta agilement à l’échelle et passa par la trappe qui conduisait au toit.

Arrivée dehors, elle inspira un grand bol d’air frais. Le soleil était encore bien là, ce qui ne donna comme résultat qu’une énorme chaleur dans la cape de sorcière qui lui servait de déguisement. C’était comme si des ogres l’avaient mises dans un four. Le genre de chaleur étouffante qui ne prend que les imbéciles qui ne pensent pas à enlever le manteau. Et comme Lia faisait parti de ceux-là... Elle attendit patiemment que l’homme la rejoignent et écouta avec le plus d’attention qu’elle pouvait faire preuve, ce qui était donc proche de zéro, les instructions qu’il donnait.

Elle sourit d’excitation. Pour le peu qu’elle avait entendu, elle savait qu’ils allaient sauter de toit en toit ! Voilà qui promettait de l’action ! Elle se frotta quelques secondes le cou avant d’entendre de nouveau l’homme lui dire que si elle avait peur, elle pouvait rester ici. Lia lui sourit et déclara sur un ton doux :

« Pas la peine... Les léoniens sont doués pour les sauts... »

Elle recula d’un pas et courut pour finalement atterrir sur un autre toit sans aucun effort. Et oui, toutes les capacités physiques, autant les cinq sans que les muscles, sont beaucoup plus développés chez les léoniens que chez les humains. Lia se retourna et attendit que l’humain la suive ou plutôt qu’il lui indique le chemin. Car quoiqu’il fasse, il pouvait être sûr que Lia le suivrait. D’une part parce qu’il était la première personne gentille qu’elle avait rencontrée sur cette terre, et d’autre part parce qu’elle l’aimait bien. Mais ça, elle ne l’avouerait sûrement jamais ou le sortirait l’air de rien dans une conversation, comme à son habitude.

Sujet: Re: La ville. 2/11/2006, 12:04

Ackam sauta sur le toit où était la demoiselle sans difficulté. A ce moment là les poursuivant entrèrent chez la sorcierr et comme Ackam avait placé cette vilaine derriere la porte, la porte l'assoma de nouveau. Les poursuivant était apeuré de se qu'ilavait fait car il reconnu qu'il était entré chez la sorciere de la ville et l'avaie encore plus assomé. Ils avaient peur du sort quelle allais leurs jetaient si elle se réveilerais.

Ackam remarqua que le prochain toit était plus haut et annonça :

"Nous devons escalader la partie supérieur du toit où nous sommes."
Il désigné du doigt le reste du toit vert qui était surélevé. Heureusement il y a des fenêtre s'agripper au bord aidera beaucoup. Alors Ackam bondi et s'agrippa au bord du toit et poussa sur ses bras pour se hisser.

"C'est a vous maintenant. Après nous irons sur cette colline a côté du toit et après je connais bien la route qui mène à ma planque. C'est une cabane en bois pas très meublé. Allais a ma maison serait trop long et on nous retrouverais facilement."

Sujet: Re: La ville. 2/11/2006, 12:23

Lia, très sérieuse pour cette fois, acquiesça à la décision de l’homme en pleine conscience de ce qu’il avait dit. Peut-être un esprit saint lui avait touché les neurones cette fois-ci ou qu’elle faisait peut-être semblant tout le reste du temps. En tout cas, la facilité avec laquelle le bel homme l’avait rejointe fascinait Lia, en effet on lui avait souvent conté les maladresses des Humains et leur incapacité à être agile. Elle haussa donc des épaules en se disant que ce qu’on lui avait raconté était quelque chose qui n’était pas vrai. A la seule pensée du mensonge, elle fit une petite grimace. Ce qu’elle détestait cette conception un peu trop connue à son goût chez les autres ! Enfin, laissons ça de côté et poursuivons... Lia entendit les hommes qui la recherchaient entrer dans la maison et comme retenir leur souffle. Pendant un moment, elle crut qu’ils avaient tué la vieille et eut une figure horrifiée. Mais la vérité vint bien vite car l’un des hommes déclara qu’elle ne devait surtout pas se réveiller lorsqu’ils étaient là, alors ils l’assommèrent une deuxième fois pour être sûr.

Lia voulut applaudir pour la facilité qu’avait l’homme à grimper, mais se souvenant des circonstances, elle se décida à le faire plus tard. Elle alla près du toit et bondit rapidement pour ne même pas avoir besoin de s’accrocher. Au plus profond de son âme, elle remercia le ciel d’être née léonienne. C’était très utile parfois ! La jeune fille suivit son regard pour voir une magnifique colline verte. De petits oiseaux voletaient par ci, par là et elle entendait même une étrange créature bramer pour trouver sa belle. Et là voilà de nouveau en train de rêver. Je pense qu’il n’est plus nécessaire de vous dire que le reste de la conversation lui avait échappé et que ses yeux de la couleur de l’améthyste étaient plongés dans le vide.... Mais elle approuva tout de même de la tête, pour être sûre qu’on ne lui dise pas une nouvelle fois qu’elle était stupide ou que le gentilhomme change le surnom qu’il lui avait attribué.

Se relevant lentement, elle jeta un regard en arrière pour voir que quelqu’un allait chercher une échelle pour accéder à la trappe. Soupirant, elle continua le chemin à travers les toits avec une vitesse surprenante. En fait, cette vitesse correspondait en tout point à l’expression « la peur donne des ailes ». A vrai dire, courir n’était pas difficile pour elle, quand vous avez couru la moitié de votre vie, plus rien n’est vraiment difficile, mais elle jetait néanmoins de temps en temps des petits regards à celui qu’elle pouvait désormais appeler ami pour être sûre qu’elle ne se trompait pas de chemin. Arrivée, à cette sorte de petite colline que l’homme avait désigné tout à l’heure, Lia sauta du toit et atterrit sur le sol en un rétablissement parfait. Elle se retourna pour attendre et voir où se trouvait cette mystérieuse personne qui l’avait aidée jusqu’ici

Sujet: Re: La ville. 2/11/2006, 12:44

Ackam sauta à son tour sur la colline et le capuchon de sa cape tomba. Ses yeux devenurent brillant a la lumière du soleil et on pouvait aussi voir la cicatrice sous l'oeil et mieux voir ses cheveux. Il remit son capuchon et regarda derrière lui. Il vit les poursuivant les plus habille sur le toit d'en face. D'un ton discret, de peur que les poursuivant entende il dit à la jeune femme :

"Faites attention ou vous mettez les pieds, marchez ou je marche et pas de mouvement brusque, je vous expliquerais cela plus tard, une fois a la cabane."
Puis il s'avança dans les fourrés. Il fit quelques petits sauts pour éviter de se faire prendre au piège par des étranges objets.

"Après cette colline il y a les bois et une rivière d'eau douce et ma petite cabane et caché là-bas. Nous irons à ma maison quand tout sera calmé. Pour l'instant ma cabane est le seul refuge possible que les poursuivant ne pourront trouver."

Et suivait toujours mes pas après la colline sauté quand il le faut. Puis il continuât sa route sur la colline.

Sujet: Re: La ville. 2/11/2006, 13:03

Lia observa discrètement l’homme quand il sauta sur la colline et décida soudain que son meilleur profil était celui de droite. En effet, non seulement sa petite cicatrice lui donnait un air rebelle mais en plus sa petite mèche était encore assez visible pour renforcer cet aspect alors que pour l’instant, Lia le trouvait plus gentil que, justement, rebelle, bien qu’il l’aide à échapper aux autorités ce qui n’était pas, soit dit en passant, vraiment une marque de sagesse. Elle trouvait également beaucoup plus beau sous le soleil : grâce à la luminosité et à la lumière, son visage apparaissait dans toute sa splendeur et ses yeux brillaient d’une flamme que Lia qualifiait d’enfantine, comme si il était resté gamin au fond de son âme. Tout à fait incapable de prononcer un mot sans bafouiller, Lia se contenta de secouer doucement la tête pour reprendre ses esprits.

Elle se récapitula ce qu’elle devait faire : un, ne pas exécuter des mouvements brusques. Deux, faire attention où elle marchait. Trois, marcher au même endroit que lui. Malheureusement, ça faisait beaucoup trop d’informations à avaler en une fois, ce qui fait que Lia retint juste : le suivre. C’était clair, concis et assez court pour qu’elle puisse le retenir dans les dix minutes qui suivaient. Il pénétra dans les fourrés, et la jeune femme le suivit, tout en prenant garde de bien reproduire ses mouvements, bien qu’elle les trouvait quelques fois assez hilarants.

Hochant pour la cinquième fois dans la même phrase la tête, elle fut tout à fait d’accord avec les directives, mais au fond que pouvait-elle dire d’autre ? Lia n’était pas vraiment quelqu’un qui savait vivre seul et même dans Gardeln, elle s’était trouvé juste une guilde pour pouvoir avoir une base sur laquelle se reposer. Non, la léonienne avait besoin des autres.

La route continuait et Lia reproduisait scrupuleusement les gestes, postures et parfois grimaces de son sauveur. Quand elle commençait à s’ennuyer, elle regardait quelques secondes ses pieds pour se dire qu’elle devrait recommencer à faire attention. C’était comme une mini alarme dans son cerveau. Car les instincts sont plus forts que tout et Lia, bien qu’on ait plutôt l’impression que ça prenait toute la place, en possédait d’excellents. Ils arrivèrent enfin à ce qui ressemblait vaguement à une rivière. Lia ne bougea pas de l’endroit où elle était en demandant d’une toute petite voix :

« C’est ici ? »

Sujet: Re: La ville. 2/11/2006, 13:17

"Oui c'est içi, attendais deux seconde..."

Ackam alla a un grand arbre très vieux avec un tronc d'un demi lieue et faisait quelque d'inperceptible, surement un code secret... Puis une échelle en bois tomba Ackam commença a poser deux pieds dessus et annonça a la belle Léoniene :

"Venait avec moi, ma planque se trouve tout en haut."

Puis il regarda la belle en attendant sa réaction et affirma :

"Ne vous inquiété pas, se n'est pas un gettapant."

Sujet: Re: La ville. 2/11/2006, 13:49

Lia attendit comme il le lui avait dit. En fait, elle se tourna un moment vers l’eau en se demandant si il y avait des poissons mais de peur de tomber dans un piège, elle ne bougea pas de l’endroit où elle s’était postée. Elle fit un tour sur elle-même et vit un petit oiseau sur la branche. Avec un plumage bleu et doré, elle reconnut l’oiseau du port, celui à cause duquel elle avait cassé toutes les marchandises des marchands ! Quand elle se réveilla de sa torpeur, elle vit une échelle qui sortait et le jeune homme posant ses pieds dessus. Tout en lui disant de monter, Lia se demanda vaguement pourquoi elle le suivait. C’était vrai, quoi ?! Elle venait à peine de le rencontrer, n’avait même pas pris connaissance de son nom et pourtant la seule chose qui jouait en sa faveur était une gentillesse incomparable envers une femme qu’il pensait au début être assassin. Pas très joli en fin de compte...

Mais quand il lui affirma d’une certaine façon qu’il ne lui voulait aucun mal, Lia dans sa naïveté sans limites, le crut tout de suite. Elle hocha la tête et le suivit tandis qu’il montait à l’échelle. Une fois qu’elle fut arrivée dans la planque, elle commença tout de suite à s’expliquer.

« Je ne suis pas un assassin, j’ai juste cassé sans faire exprès les marchandises des gens qui se trouvaient sur le port ! Je n’ai vraiment pas voulu faire ça ! Vous voyez, je suis plutôt du genre tête en l’air, tout le monde me le fait souvent remarquer, mais je n’y peux rien, donc je suis extrêmement désolée pour ces personnes qui vont devoir recommencer tout leur travail à cause de moi... Mais vous avez de drôles de coutumes sur ces Terres... Chez les léoniens, la personne fautive n’avait qu’à s’excuser et c’était fini ! Les gens ne se courraient pas après pour quelques objets cassés. Mais au fait... vous ne m'avez pas donné votre nom... »

Sujet: Re: La ville. 2/11/2006, 18:51

Ackam écouta la fragile créature d'apparence et répliqua :

"Désolé, je suis confu, j'ai oubliez de vous dire mon nom, je m'appelle Ackam."

" Voici la cabane maudite, ce nom peut vous effrayé je m'en doute mais c'est son nom que nous avions donné à notre cabane. Le matelat bleu est a moi et le blanc est pour vous et si vous avez froid il y a de quoi allumé un petit feu dans cette petite cheminé."

Il n'y avait qu'une seule pièce dans cette cabane, elle était assez petite, il y avait une petite plaque de cuisson qui reposé sur un petit meuble qui fermais a clef. Une vieille casserole était posé sur cette plaque de cuisson. Ces objets était posté sur une largeur de la piece. Sur l'autre largeur était entreposé la petite cheminé, qui ressemblé a un four a charbon. Les deux matelas était posé sur les longueurs. Le mur était en bois et au deus des des deux extrémiter des matelat était posé une fenêtre a volets. La porte qui était une trappe dans le sol était au centre de la piece.

" Avez-vous faim ? vous devez être aussi fatigué du voyage et de la course."

Ackam ouvrit le petit meuble et en sorti des petite boîtes en plastique. Il ouvrit et montra le contenu de chaque à la Léoniene. Il y avait dans les tupéroires des petits plat déjà préparé, il suffisait de les faire chauffer.
Dans le premier tuperoire, il y avait des petits morceaux de viande rouge avec des pomme de terre coupé en carré, du persils et des oignons. Dans le deuxieme, une salade verte avec des avocats et encore de la viande haché et enfin dans le troisième, des spagethis bolognaise.

"Il faut faire votre choix maintenant. Et nous passerons la nuit içi pour éviter de se faire repérer."

Sujet: Re: La ville. 2/11/2006, 20:45

Lia entendit enfin le nom de son sauveur. Ackam... Ac...ka...mmm.... Elle le répéta plusieurs fois dans son esprit pour être sûre de s’en souvenir, et oui c’est comme ça quand on a rien dans la tête ! Elle hocha la tête en souriant. C’était plutôt mignon... Au moins lui avait un nom qui demandait de la puissance ou tout du moins un peu de dignité. Lia, quant à elle, trouvait son propre prénom ridicule. En effet, Lia veut dire petite en une langue ancienne que seuls les très vieux Galfinéins parlent encore. Elle tirait souvent la langue aux gens qui disaient son prénom d’une façon affectueuse, car il y a quelques années c’était la pure et stricte vérité. Lia n’avait pas toujours été grande et svelte. C’était grâce à une rencontre avec un Léonien un peu loufoque qui avait quelques compétences en magie, qu’elle avait pu changer tout ça. Elle avait d’abord passé des heures à discuter avec lui, de choses et d’autres, heureuse que quelqu’un sache enfin la supporter assez longtemps pour tenir toute une conversation. Ce fut à cause de cela qu’elle accepta sa proposition pour effectuer une petite expérience magique. La première fut plutôt concluante : Lia devint grande et assez bien formée. Malheureusement la masse musculaire commune à tous les Galfinéins n’allait vraiment pas avec cette taille qui devait rendre plus mince que super musclée. Alors ils passèrent de nombreux jours à tester des formules magiques sans queue ni tête, ce qui leur valut d’ailleurs plusieurs crises de fou rire incontrôlables. Après de nombreux essais qui firent passer Lia d’une couleur orange, par du vert pâle avec des pois rouges, pour finalement arrivé au résultat attendu : son corps devint svelte, dissimulant ainsi sa musculature. Soulagée, elle avait remercié pendant de longues heures le magicien avant de le quitter le cœur lourd.

Elle reporta son attention sur l’homme quand il expliqua quelques anecdotes sur la cabane. Mais un détail la frappa tout de suite. Il n’avait pas dit ‘je’, mais bien ‘nous’. Peut-être y avait-il quelqu’un d’autre. A l’idée d’une nouvelle rencontre, Lia en fut transportée de joie, comme à son habitude. Pas un seul instant il lui était venu dans l’esprit que la personne qui vivait ici était morte ou avait disparu à un moment ou un autre. Elle se tourna vers le matelas blanc et approuva de la tête. Elle ne parlait plus, de peur de recommencer à dire des bêtises. Lia se retint de dire un commentaire sur sa faim, mais lâcha un petit :

« Un peu... »

Très discret. On voyait qu’elle se retenait de dire quoi que ce soit par l’énorme soupir qu’elle poussa ensuite. Même si elle n’avait rien dans la tête, elle sentait quand quelque chose n’allait pas et son esprit se calquait toujours sur une certaine direction pour essayer de le combattre. Le problème, c’est que ce n’était souvent pas nécessaire du tout. Elle regarda dans chaque sorte de caisse les plats et éclata de rire. Apparemment cet humain n’avait jamais vu de Galfinéins ou alors n’avait pas vraiment d’affinités avec eux, car sinon, il aurait été au courant qu’ils étaient tous exclusivement carnivores.

« Je pense que je vais me contenter de la viande crue, merci... »

Elle lui fit un clin d’oeil taquin et approuva sa décision pour ne pas s’en aller d’ici. Elle n’avait plus trop envie de se retrouver face à une foule en furie comme tout à l’heure.

« Je suis d’accord avec vous ! Ces gens me faisaient terriblement peur avec leurs figures bouffies et rouges de colère ! Je n’avais jamais vu ça avant ! Les coutumes humaines sont beaucoup plus compliquées que je ne le croyais. Comme par exemple, vous savez que les Galfinéins aiment se faire voler ? Ils disent que c’est une occasion pour eux de travailler encore plus et mieux pour regagner l’argent qu’ils ont perdu. Mais pourtant quand j’ai, je répète encore que je n’ai pas fait exprès, cassé les marchandises, les hommes n’avaient vraiment pas l’air contents. »

Elle ne comprenait pas, dans son esprit de gamine trop vite pubères, que les gens soient fâchées pour de telles choses. Après tout... Elle leur avait rendu service au fond.

Sujet: Re: La ville. 2/11/2006, 21:08

"Mais ne vous inquiété pas trop, tout les humains ne sont pas comme eux. Et excuser moi, j'avais oublié que les Léoniens était carnivore. Je vous donnerais la viande crue et moi je mangerais le reste. Au fait j'ai quelque chose qui pourrais vous plaire." Fit -il en se retournant.

Il fouina dans sa poche et sorti une petite boite en cuivre peint en noir. Il ouvrit la boîte et montra son contenu, il y avait des petits cahets, certain aitais rouge d'autres blanc et d'autres rouge et blanc.

"Les blanc pour trouver le sommeil, les rouge pour la digestion quand sa passe mal et les rouges et blancs pour le mal de tête. Si un de ses médicament peut vous apportez quelque chose, prenez celui dont vous avez besoin et je vous averti que la viande date de 2 semaines donc je doute quel soit très bonne a digéré enfin peut être pas pour vous."

Il mit le contenu du premier tupéroire en enlevant quelque morceaux de viande a chauffer. Puis il s'asseya sur son matelat et annonça :

"Racontez moi votre aventure a présent, pourquoi et comment êtes vous venu a Langrand ?"

Sujet: Re: La ville. 4/11/2006, 12:35

« Ha bon, ça me rassure, si vous saviez le nombre de choses qu’ont m’a dit sur les humains ! C’était jusqu’au point où je trouvais que vous étiez même plus agile que ce que l’on m’a raconté... Peut-être que les préjugés sont plus dangereux que le reste... »

Quoi ?! Mais...Lia vient-elle de dire quelque chose...d’intelligent !? C’est peu probable... Dans ses yeux coulaient un regard différent, comme si un petit diable se cachait. Mais quittant vite cette impression désagréable, Lia accepta la viande crue avec un sourire et le petit cadeau aussi. Malheureusement sous l’explication des différentes couleurs, Lia se dit en elle-même qu’elle se contenterait simplement d’avaler chaque pilule de chaque couleur jusqu’à ce qu’elle aille mieux. Ce n’était pas très malin, mais trop d’informations en quelques minutes, lui faisaient un peu mal à la tête et en plus elle ne les retenait pas alors...

« Ne vous inquiétez pas... J’ai déjà mangé pire ! Je me souviens de cette viande avariée qui avait passé la nuit dehors sur le bateau... Quelle horreur, vous auriez du voir ça, d’une couleur verte comme ça, il y avait même des asticots dedans. Mais en fin de compte elle se révélait délicieuse... Les apparences sont souvent trompeuses, surtout pour la nourriture. »

Restant quelques moments dans ses pensées, Lia n’entendit pas tout de suite ce que disait Ackam. Mais une fois que son esprit fut concentré dessus, elle alla s’asseoir sur le matelas que Ackam lui avait donné pour dormir ici. Elle prit un petit bout de viande et le renifla d’une façon tellement mignonne qu’on n’aurait jamais pu croire qu’elle allait le manger.

« Et bien... Voilà. Tout a commencé il y a quelques semaines, quand j’étais à la guilde des vol... »

Lia se souvint que l’homme n’aimait pas beaucoup les voleurs et assassins et se tout quelques secondes pour reprendre.

« Peut-être devrais-je d’abord expliquer certains concepts des Léoniens. Les Léoniens ont vite compris qu’un déséquilibre pouvait se creuser entre les riches et les pauvres si quelqu’un n’intervenait pas pour pouvoir le combler. En effet, les riches étaient très riches et les pauvres devaient dormir dans les rues sans rien pouvoir manger tant ils étaient faibles. Alors arrivèrent cette magnifique profession, que j’ai bien peur que vous n’aimiez pas beaucoup Ackam, les voleurs. Des personnes commencèrent à voler l’argent, marchandises et autres objets des Galifinéins riches. Ceux-ci devaient alors consacrer du temps à pouvoir regagner leur argent et pouvoir racheter de la marchandise. Cet argent que les voleurs prenaient devait être déclaré par le chef de la guilde, qui s’occupait du circuit des roublards. Une partie en était prélevé pour être versé aux habitants comme si de rien n’était. Ainsi un équilibre se forma. Non seulement les pauvres pouvaient de nouveau retrouver des forces pour pouvoir aller travailler et manger mais en plus les riches devenaient plus humbles et offraient même leur hospitalité aux gens les plus démunis. Voyez-vous Ackam, chez nous... Le métier de voleur est un immense honneur. Et je... suis également une voleuse. »

Voilà, après avoir raconté carrément n’importe quoi, qui était pourtant la pure vérité, Lia avala le morceau de viande et eut un petit sourire calme et joyeux.

« Donc je disais qu’il y a quelques semaines, j’étais dans la guilde des voleurs et alors j’ai vu une lettre parlant d’une immense pierre précieuse qui valait beaucoup d’argent. Et voyez-vous, moi, en toute bonne voleuse que je suis, je... Ben, je... Je voudrais bien le voler. »

La logique qui tue... Lia se frotta la nuque d’un air vaguement gêné mais un peu démenti par son air malicieux.

« Alors j’ai volé la lettre et je me suis enfuie pour ne pas être déchiquetée par le chef. Il ne m’aimait déjà pas beaucoup avant alors vous imaginez maintenant... En clair si je ne trouve pas la carte conduisant à ce joyau et que je reste ainsi à rien faire et bien... Des Léoniens vont me faire la peau... »

Et toujours ce petit sourire sur la figure... C’est à peine si on n’avait pas envie de lui flanquer une claque pour qu’elle se réveille. Mais bon sang Lia ! Réveille-toi un peu, des personnes ont envie de te tuer ! Mais ce serait peine perdue car Lia ne comprenait même pas que quelqu’un puisse être méchant. En effet, pour elle une personne méchante était juste quelqu’un qui n’avait eu personne pour l’aider dans sa vie et qui maintenant cherchait de l’aide au fond de son cœur.

« Et vous ? Aventure ou quête à préparer ? A raconter ? »

Sujet: Re: La ville. 4/11/2006, 13:21

Ackam rangea sa boite et quand il eu appris que Lia était une voleuse, il fut un peu perdu. Puis à la fin récit de Lia il prit la parole :

"Et bien... je m'attendais pas à une voleuse, encore moins a une voleuse de bon coeur qui veut aider les pauvres mais je me demande si vous ne mentez pas..."

Puis il s'allongea sur son matelas et annonça :

"Et bien pour l'instant je n'ai pas d'aventure en vue et je peux vous racontez mon passé puisque vous l'avez fait.

Alors voila comment je suis arrivé chez la sorcière : Et bien... heu... par ou commencé. Par le début, je pense que ce sera plus clair. Alors voila je suis née de l'union d'un humain et d'une humaine, mais ma mère je ne l'ai jamais connu car elle est morte en me donnant naissance. Puis mon père c'est uni avec une elfe quand j'avais deux ans. Et quand j'avais 16 ans, ma mère ma emmené au lac Aries et ma offert mon cadeau d'anniversaire. Mais au moment où je commençais à sortir mon cadeau de l'emballage, un Erkai a surgit de nulle part et a frappé ma mère sur sa tempe. Alors j'ai vu que mon cadeau était une épée, pas une épée ordinaire. Je l'ai sorti de son fourreau et j'ai mit un coup sur la monstrueuse créature qui est morte." Ackam commençais à avoir les larmes aux yeux.

" Je suis désolé...

Alors voila après je n’ai pas envie de vous racontez mais je n’ai jamais revue mon père pour une raison en rapport avec la cabane ou nous somme. Puis ce matin j’ai vue ma mère en apparition et je suis allais voir cette sorcière pour quelle m’aide a comprendre la signification de mon apparition. Et après la sorcière m’a attaqué avec une boule de feu et je me préparé a l’attaquai quand vous l’avez assommé en entrant. Voilà pourquoi je vous doit la vie."

Sujet: Re: La ville. 4/11/2006, 16:56

[Oki ! J'ai corrigé Faen et merci de m'avoir prévenue ! (parce qu'avec le nombre de gaffes que je fais déjà...]

Lia hocha la tête en entendant qu’il trouvait qu’elle avait bon cœur mais fronça les sourcils quand il se demanda si elle ne mentait pas. Comme je l’ai sûrement dit un peu avant, la conception du mensonge était étranger à Lia. Elle ne comprenait même pas pourquoi les gens disaient « des mots qui n’étaient pas vrais ». De un ça ne servait à rien du tout et de deux, ce n’était pas honnête. Quand il s’allongea sur le matelas, elle resta dos au mur, de façon à pouvoir observer toute la pièce au complet et avala quelques-unes de ces viandes. Bénissant intérieurement ces antécédents, elle ne ressentait aucun problème à manger cette viande un peu périmée. Heureusement que les Léoniens (je ne me suis pas trompée cette fois !) avaient un système digestif résistant. Mais bon, il fallait quand même qu’elle remercie Ackam pour avoir prévu, au cas où, des médicaments.

En écoutant l’histoire de l’humain, Lia sentit les larmes venir à ses yeux. En plus ne pas avoir un gramme dans le cerveau, Lia avait un équilibre sentimental très très fragile, ce qui la rendait socialement impossible. Elle était si triste pour ce pauvre homme qui avait tant vécu... Quand il s’excusa d’avoir les larmes aux yeux, la Léonienne secoua doucement la tête pour lui signifier que ce n’était rien. Comme elle-même était presque sur le point de s’effondrer en pleurs, elle ne pipa plus un mot, retenant les larmes qui lui picotaient les yeux.

Quand il eut fini et conclu par l’arrivée assez surprenant de Lia dans la pièce de la sorcière, elle rougit et répondit assez précipitamment :

« Maiiiis... Je ne..ne vous ai pas sauvé la vie ! J’ai juste assommé une vieille en entrant dans une pièce. Mais si vous voulez voir ça comme ça, disons que maintenant nous sommes quittes. Vous venez également de sauver la mienne ! Heu... Vous croyez que les marchands étaient vraiment sérieux en déclarant qu’ils allaient arracher ma fourrure pour en faire un tapis ? » demanda-t-elle assez mal à l’aise.

Soudain des coups retentirent en dessous et Lia eut le bonheur de sursauter. Elle se leva et poursuivit ses paroles.

« Hum... Je pense qu’il y a quelqu’un qui voudrait entrer... »

Quelle brillante déduction ! Alors là quelle génie ! Ça méritait des applaudissements. Lia se leva, un peu embêtée et demanda très doucement de sa voix mélodieuse :

« Que devons-nous faire ? »